LE GABON SUR LES PAS DU TOGO: MERCI FAURE

Peu à peu les realités du Gnassland (togo) s’implantent au Bongoland (Gabon). Ali Bongo réélu pour un 2è septennat à la tête du Gabon, un coup du maestro Faure Gnassingbé réussi avec la complicité de la haute instance judiciaire du pays.
Offrons-nous une petite réflexion. Qu’est parti faire au Gabon, Kwesi Séléagodji Ahoomey-zunu, ex premier ministre du Togo jusqu’à y sortir <> son œuvre littéraire du 29 août dernier et préfacée par le professeur Albert Tévoédjé? Une simple réponse; juste apporter l’expertise du Gnasseron au Bongolais pour la dernière présidentielle au Gabon. Laquelle expertise visant à dire <>. En effet, le coup du maître à été imposant, la Cour Constitutionnelle s’est joint à la danse et l’hôte à la table du Gnasseron du Togo et du Kabiliste de la RDC a prêté serment ce 27 septembre. À la cérémonie d’investiture, on note la présence du maître à penser Faure Gnassingbé aux côtés de ses paires du Mali, du Niger et de Sao tomé après son passage la veille à Brazzaville, recevoir du vieux conseiller du non abandon du fauteuil présidentiel, Sassou N’guesso, des encouragements pour fortifier Ali le Bongolais.
Cérémonie d’investiture aucours de laquelle Ali Bongo appelle à un large dialogue politique et veut faire rentrer des membres de l’opposition dans le prochain gouvernement tout comme ce fut le cas au Togo en 2010 avec le régime RPT/UNIR et l’UFC de Gilchrist Olympio. Et de tout cela, après avoir sacrifié les pauvres populations gabonaises Jean Ping l’autre aspirant au pouvoir et aussi presque de la même maison s’offre le mutisme.
À quand la vérité des urnes dans les pays où le pouvoir est confisqué par les fils à papa?

Kangni Coco LOCOH

À QUAND LA LIMITATION DE MANDAT PRÉSIDENTIEL AU TOGO ET EN GAMBIE?

Rien ne surpasse la volonté du peuple dans un État démocratique, et une question à laquelle tient tout pays normal où règne la vraie démocratie aujourd’hui est celle de la limitation des mandats présidentiels. Mais le Togo de Faure Gnassingbé et la Gambie de Yaya Diameh ne semblent pas partager la même vision.
Qu’il nous souvienne que lors du dernier sommet de la Communauté Économique Des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) au Ghana, portant Macky Sall, président du Sénégal à la tête de l’institution africaine, il eu question de bonne gouvernance à laquelle les dirigeants des États membres de la CEDEAO avaient voulu faire adopter un principe de limitation de mandats présidentiels à l’échelle régionale. Mais l’adoption dudit principe s’est heurtée au refus de signature du Togo et de la Gambie.
Que dire donc? Est-ce un vouloir de s’éterniser au pouvoir qui soutiendrait un tel refus?
Pour le Togo, rappelons que les conflits politiques que connaît le pays depuis des années, émanent du refus de quitter le pouvoir de Faure Gnassingbé, fils du feu président Eyadéma Gnassingbé dont le régime est au pouvoir depuis près de 50 ans.
Le président togolais craindrait-il la limitation de mandat présidentiel? Oubien l’observance d’un principe familial à ne jamais laisser le fauteuil présidentiel, décrié par beaucoup de togolais aurait raison de lui, en ce moment où le peuple aspire au changement?
Rappelons également que lors de ses derniers passages à Berlin en Allemagne et à New-York aux USA, le président togolais a manifestement été hué par ses compatriotes de la diaspora de ces deux pays, réclamant à tout prix les réformes constitutionnelles et institutionnelles en plus de la limitation du mandat présidentiel.
Le Togo serait-il différent des autres pays de la ligne corridor tels, la Côte-d’ivoire, le Ghana, le Bénin et le Nigéria où le pouvoir a déjà changer de mains?

Kangni Coco LOCOH

Pressemitteilung: Rassismus gegen Afrikaner in Berlin-Friedrichshain

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Berlin, 25.08.2016

Am Freitag, den 15. Juli 2016, um ca. 23 Uhr, sollten vier Afrikaner ihren Reisepass vorzeigen, bevor sie die Bar Captain (Simon-Dach-Straße 32, 10245 Berlin) betreten konnten. Die Afrikaner waren schockiert und fühlten sich nach dieser Ungleichbehandlung aufgrund ihrer Hautfarbe diskriminiert. Eine deutsche Bekannte wurde nicht nach ihrem Pass gefragt. Nach einer verbalen Auseinandersetzung eskalierte die Situation, als eine Mitarbeiterin der Bar einen der Afrikaner schubste. Sowohl der Afrikaner als auch die Mitarbeiter riefen die Polizei. Als die Polizei kam, verhielt sie sich aggressiv gegenüber dem Afrikaner, obwohl dieser sehr höflich mit der Polizei sprach. Eine Polizistin stellte sich als Einsatzleiterin vor, obwohl sie sich offensichtlich nicht in dieser Position befand.

„Ich wollte eine Anzeige machen, aber die Polizei hat mich ignoriert“, berichtet der Afrikaner dem ITAP e.V.

Der Initiative Togo Action Plus e.V. werden viele Beschwerden über rassistische Äußerungen, Beleidigungen oder Erniedrigungen aufgrund der Hautfarbe mitgeteilt.

Dabei heißt es im Grundgesetz Deutschlands:

Art. 1. (1) – GG: Die Würde des Menschen ist unantastbar. Sie zu achten und zu schützen ist Verpflichtung aller staatlichen Gewalt.

Art. 3 GG: Niemand darf wegen seines Geschlechtes, seiner Abstammung, seiner Rasse, seiner Sprache, seiner Heimat und Herkunft, seines Glaubens, seiner religiösen oder politischen Anschauungen benachteiligt oder bevorzugt werden. Niemand darf wegen seiner Behinderung benachteiligt werden.

Genau wie in Südafrika oder den USA, gibt es auch in Deutschland immer wieder Vorfälle, bei denen Afrikaner_innen wegen ihrer Hautfarbe schikaniert werden und in Bars, Lokalen oder Fitness-Centern Hausverbote erhalten. Vorgeschobener Grund ist dann beispielsweise eine Private Night, tatsächlicher Grund aber ist die Hautfarben und die Vorurteile gegen Afrikaner_innen. Große Teile der Gesellschaft tragen diese Diskriminierungen mit, auch Menschen, die sich eigentlich auf der Seite der Afrikaner_innen oder Migrant_innen sehen.

Die Initiative Togo Action Plus e.V. fordert Aufklärung und den Stopp der Apartheids-Haltung in Berlin und in der BRD. Stopp dem Hass und den Schikane gegen Afrikaner_innen und Migrant_innen!

Initiative Togo Action Plus e.V.